Caso 2021-021N
Ginevra
Cronistoria della procedura | ||
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2021 | 2021-021N | Le Ministère public déclare le prévenu coupable de discrimination raciale (Art. 261bis al. 4 CP). |
Criteri di ricerca giuridici | |
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Atto / Fattispecie oggettiva | Discredito o discriminazione (4° comma 1ª metà) |
Oggetto della protezione | Razza |
Domande specifiche sulla fattispecie |
Parole chiave | |
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Autori | Persone private |
Vittime | Persone nere / PoC |
Mezzi utilizzati | Parole |
Contesto sociale | Luoghi pubblici |
Ideologia | Razzismo (colore di pelle) |
Il est reproché au prévenu d'avoir dans un supermarché, déclaré publiquement à la victime «negro de merde je vais te mettre une balayette».
La victime a déposé plainte pénale en raison de ces faits.
Le prévenu a contesté les faits qui lui sont reprochés, déclarant n'avoir travaillé que jusqu'à 15h00 le jour en question et précisant n'avoir eu qu'un vague conflit avec le plaignant.
X, témoin des faits, a confirmé, en substance, la teneur de la plainte pénale déposée par la victime, précisant ne pas comprendre comment un tel comportement pouvait survenir en 2021.
Y a transmis spontanément un courrier à la police, à teneur duquel il précise avoir été présent lors d'un échange verbal sans injure ni menace, étant relevé qu'il ne précise pas la date ni le contexte de celui-ci.
Le prévenu aurait déclaré publiquement à la victime «negro de merde je vais te mettre une balayette».
Le Ministère public déclare le prévenu coupable de discrimination raciale (Art. 261bis al. 4 CP).
Le Ministère public déclare le prévenu coupable de discrimination raciale (Art. 261bis al. 4 CP).
Le Ministère public le condamne à une peine pécuniaire de 30 jours-amende à CHF 110.- par jour. Le Ministère public met le prévenu au bénéfice du sursis et fixe le délai d'épreuve à trois ans.
Le Ministère public condamne le prévenu à une amende à titre de sanction immédiate de CHF 660.- et prononce une peine privative de liberté de substitution de 6 jours. La peine privative de liberté de substitution sera mise à exécution si, de manière fautive, l'amende n'est pas payée. Le Ministère public renvoie la victime B à agir par la voie civile sur ses éventuelles prétentions civiles.