Dans une enquête, des personnes travaillant pour les CFF font état de violences sexuelles, de harcèlement moral et de discrimination (...)
Dans une enquête, des personnes travaillant pour les CFF font état de violences sexuelles, de harcèlement moral et de discriminations. Elles doivent signer une clause de confidentialité stricte, qui est aussi critiquée par des spécialistes en la matière (...)
En novembre 2024, la Suisse fêtera les 50 ans d’adhésion à la Convention européenne des droits de l’Homme. Le Conseil fédéral a-t-il envisagé un autre cadeau d’anniversaire que sa déclaration récente appelant à ne pas mettre en œuvre l’un des arrêts de la Cour européenne des Droits de l’Homme ?
L’étude sur la discrimination et la violence sexualisée fondées sur le genre et/ou l’orientation sexuelle dans l’Armée suisse est assortie d’un train de mesures. Les mesures qui y sont esquissées sont toutefois tellement vagues qu’il est presque impossible d’en mesurer l’efficacité. Le Conseil fédéral est prié de répondre aux questions suivantes (...)
Le Conseil fédéral est chargé de supprimer le volet "diversité" dans le Service spécialisé Femmes dans l'armée et diversité et de prendre les dispositions nécessaires pour qu'à l'avenir, ledit service, ainsi recentré sur tout ce qui concerne la place des femmes dans notre Armée et ce qui permet de rendre le service militaire plus attractif pour les femmes, se concentre désormais exclusivement sur cet objectif essentiel pour l'avenir de notre outil de défense.
Le Conseil fédéral est chargé d’examiner comment garantir l’indépendance et la discrétion du Service de médiation de l’armée.
Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) a publié le 22 octobre 2024 son nouveau rapport de situation « La Sécurité de la Suisse 2024 ». Dans le rapport 2023 (et dans ceux des années précédentes), le SRC proposait, dans le chapitre « Extrémisme violent », une statistique intitulée « Évènements motivés par l’extrémisme violent annoncés au SRC ». Il y distinguait les évènements relevant de l’extrémisme de gauche, de l’extrémisme de droite et de l’extrémisme Corona. Alors qu’elle suscitait un grand intérêt du public, cette statistique ne figure plus dans le rapport 2024.
Le Conseil fédéral a été chargé d’instaurer ou de coordonner à l’échelle nationale des permanences professionnelles fournissant par téléphone ou en ligne, 24 heures sur 24, des conseils aux victimes d’actes de violence, comme le prévoit l’art. 24 de la Convention d’Istanbul (...)
Les associations Pink Cross, LOS et TGNS ont créé un service d’urgence téléphonique permettant de reporter les crimes ou délits subis en tant que personnes LGBTIQ+ et de recevoir des conseils (« LGBTIQ Helpline »). En 2023, 305 cas de crimes de haine anti-LGBTIQ ont été signalés soit plus du double de 2022 (134). Un tiers des personnes ont aussi souhaité être conseillées par la Helpline, tant pour des raisons de confiance que parce que les offres officielles, cantonales ou fédérales, s'adressant spécifiquement aux personnes LGBTIQ+ font trop souvent défaut (...)
Le Conseil fédéral est chargé d’obliger l’administration fédérale à réaliser une étude d’impact relative aux risques pour les droits fondamentaux et la société lors de l’utilisation de systèmes fondés sur l’IA et sur des algorithmes. Cette obligation s’appliquera à tous les systèmes que l’administration fédérale utilise pour des procédures de décision ou d’aide à la prise de décision.
Le Conseil fédéral est chargé de dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) dès que possible.
Le Conseil fédéral est chargé de dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) dès que possible.
Le Conseil fédéral est chargé de s’associer à d’autres États parties à la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) pour rappeler la Cour européenne des droits de l’homme (Cour EDH) à sa mission première. Plus particulièrement, la Cour EDH ne doit ni autoriser les recours d’associations sans but lucratif (cf. art. 34 CEDH) ni restreindre la marge d’appréciation légitime des États par une interprétation abusive des droits fondamentaux (cf. préambule et protocole n° 15). Aussi s’agira-t-il en premier lieu de négocier un 17e Protocole à la CEDH qui établisse en la matière des règles contraignantes.
(...) Il faut modifier la loi sur l’armée de manière à définir plus clairement et à développer le devoir de diligence de l’armée envers les militaires. L’objectif consiste à renforcer les mesures de prévention contre la discrimination, le harcèlement et la violence, ainsi qu’à garantir la protection et un soutien complet aux personnes concernées. Pour ce faire, il faut inscrire dans la loi des mesures de sensibilisation et des structures transparentes pour le traitement des cas.
(...) L’art. 74 du code de procédure pénale (CPP) est complété comme suit : 2bis Lorsqu’elle informe la population, la police donne l’âge, le sexe et la nationalité des auteurs, des suspects et des victimes, pour autant qu’aucun motif de protection de la personnalité ne s’y oppose ou que personne ne puisse être ainsi identifié.
La loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est adaptée de sorte que la révision d’un jugement suisse de dernière instance sur la base d’un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (Cour EDH) doive être soumise à l’approbation de l’Assemblée fédérale. Celle-ci doit examiner s’il y a lieu de modifier la loi à la suite de l’arrêt de la Cour. Si elle n’autorise pas la révision et qu’elle renonce à modifier la loi, le droit en vigueur continue de s’appliquer.
Il convient d’étendre la liste des motifs d’expulsion obligatoire figurant à l’art. 66a CP de sorte que les condamnations visées à l’Art. 261bis CP soient également punies d’une expulsion.
Le Conseil national reconnaît le génocide des Yézidis commis en 2014 en Irak par l'Etat islamique.
Le Conseil fédéral est chargé de communiquer à Bibliomedia que la mise en place de lectures par des drag-queens ne correspond pas au mandat qui lui est confié. Si Bibliomedia persiste dans sa mauvaise exécution du contrat de prestation, les aides financières doivent être sensiblement réduites et des remboursements exigés.
Le Conseil national reconnaît le génocide mené par l'Etat islamique contre les Yézidis depuis 2014. Il demande au Conseil fédéral d'en prendre acte et de transmettre cette position par les voies diplomatiques usuelles.
Les propos tenus par le Conseil fédéral d'aujourd'hui reviennent à mettre sur le même plan la défense et la condamnation du crime d'esclavage, ce qui constitue une appréciation et une explication aussi désastreuses éthiquement que honteuses pour la Suisse. Ainsi, défense et condamnation reposeraient toutes deux sur des " valeurs " prétendument changeantes. Or, excuser un crime contre l'humanité en invoquant des " valeurs " alors que celui-ci représente précisément la négation de toutes les valeurs, n'est pas acceptable.
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)
L'Art. 261bis du code pénal est modifié comme suit :
Discrimination et incitation à la haine
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse, de leur orientation sexuelle ou de leur sexe, (...)